Pour la fête des pères, nous avons testé un nouveau restaurant, "le Bistrot Gavroche" qui est une réplique
fidèle du bistrot français traditionnel
Niché au cœur d'un quartier ancien réhabilité à neuf, super sympas, il vous faudra faire un petit effort pour le trouver car il n'a pas pignon sur rue.
Niché au cœur d'un quartier ancien réhabilité à neuf, super sympas, il vous faudra faire un petit effort pour le trouver car il n'a pas pignon sur rue.
Ouvert
7jours/7, juste à l'entrée de l'immeuble vous trouverez la carte
Et
cette invitation à monter au premier étage
on est sure de ne pas se tromper
Le bistrot gavroche est à l'initiative de 3 amis : Frédéric Colin chef sommelier, qui fit ses classes dans les cuisines de restaurants 3 Etoiles et digne descendant de son grand père Henri qui était le propriétaire du bistrot des halles à Paris,
Lionel Richard le manager du restaurant (que l'on voit en salle) et d'un troisième ami investisseur.
Fort de leur expérience à Singapour ou ils possèdent le café -bar le Gavroche, les 3 amis ont eu le coup de cœur pour la rue Kensington fraîchement restaurée
Il faut prendre l'ascenseur au fond du couloir pour monter au premier étage
L’entrée donne le ton, en bois, typique des vieilles brasseries parisiennes
Même le seuil, en mosaïque art nouveau, est exactement ce que l'on
trouve dans les grandes brasseries françaises
en entrant à votre gauche un bar
la salle de restaurant , franchement on s'y croirait !
Belle fresque de carrelage sur le devant du comptoir et derrière les cuisines rutilantes
Sur la table les serviettes rouges et blanches brodées au nom de l’établissement, impeccablement pliées et légèrement amidonnées
la carte, dans son cadre en bois et verre, vous propose une belle variété
de spécialités françaises, des plus séduisantes, et qui mettent l'eau à la bouche.
Dans la salle encore une belle fresque en carrelage avec ce beau dicton
en français.
Passons aux plats : en entrée je me suis autorisée la tranche de pain Poilâne nappée d'ail et de moelle : un délice
Tandis que Léa et Naresh se partageaient un crottin de Chavignol sur son lit de salade, plat traditionnel mais juste parfait
Quant
à Ilian, il a fait fort avec son homard sauce thermidor, que c'était bon, et très
fin !
En
plat la queue de bœuf sauce au vin a fait l'unanimité, servit dans sa casserole
avec des légumes de saison
la carte des desserts plus petite que l'autre
Avec
pour les 2 gourmands maison, ilian ayant
pris les profiteroles au chocolat
et une généreuse tarte Tatin pour Naresh
On repart repus, et heureux. A noter
que le pain est offert et à volonté
comme en France, que des gougères encore un peu tièdes nous ont été également
offertes en apéritif et qu'en accompagnement de l'addition, une délicieuse
madeleine toute chaude sortant du four nous a été offerte à chacun. Je ne parle
même pas du kir ou verre de champagne ou cocktail de fruits offerts en raison
de la fête des pères.
L’addition est tout à fait raisonnable comparée celle des grandes
brasseries de Paris et pour la qualité, un service et un décor impeccable.
Pour ceux qui auraient lu la critique incendiaire du Daily Telegraph
(la seule sur ce ton !) sachez que j'y ai fait mon commentaire (je suis la seule
d’ailleurs) mais que l'auteur de l'article s'est bien gardée et de m'y répondre.
Comme quoi les journalistes culinaires ont la critique facile mais
peu de courage
Bistrot Gavroche : 1/2-10 Kensington St, Chippendale
J'avoue que l'endroit est magique et que la nourritture tres bonne (surtout les profiteroles d'Ilian), mais j'aime beuacoup aussi le Bistro (oui sans t) Papillon qui est au centre ville. Naresh
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